L’autoconsommation photovoltaïque : quelles opportunités ?

Plus le coût de l’énergie augmente et plus l’autoconsommation électrique présente des opportunités. Le Groupe Cogedis fait le point sur l’évolution de la réglementation.
Autoconsommation photovoltaïque
Photo de Andres Siimon Unsplash

Publié le 02/05/2023

En autoconsommation, quels sont les 2 modes de valorisation de l’électricité photovoltaïque ?

  • L’autoconsommation avec vente du surplus.

Dans ce cas, le surplus d’électricité est payé par l’intermédiaire d’un contrat de 20 ans et il est injecté dans le réseau électrique.

Avantage : lorsque la production est supérieure au besoin, ce type de contrat permet davantage de souplesse. Le surplus sera rémunéré.

Inconvénient : les taxes sont au même niveau que pour les contrats qui sont en injection totale.

  • L’autoconsommation totale.

Dans ce cas, le surplus n’est pas vendu. Sans rémunération, l’électricité qui n’est pas consommée est injectée dans le réseau.

Avantage : liées au raccordement et à l’injection, les taxes sont minorées.

Le chiffre à retenir : l’Association d’Agriculteurs Producteurs d’Électricité Photovoltaïques (l’APEPHA) relève pour les projets de centrale photovoltaïque sur bâtiment de 136 kWc en vente en surplus ou bien en autoconsommation totale, un taux de rentabilité d’environ 15%.

La réglementation évolue

Pour ce qui concerne les nouvelles installations, le passage d’un contrat de vente en injection totale à une autoconsommation avec vente de surplus (et inversement) est désormais possible.

Pour tout savoir sur les opportunités du photovoltaïque, n’hésitez pas à vous faire accompagner par les équipes d’experts du Groupe Cogedis.

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Rédigé par Louise Pahun